Tract imprimé et diffusé par les Mouvements unis de la Résistance, en vue de la mobilisation à la manifestation patriotique pour la fête nationale, rappelant les idéaux de 1789 et annonçant la fin de l’esclavage sous domination nazie, 14 juillet 1943.
Organisme crée par Jean Moulin et réuni en séance plénière le 27 mai 1943 au 48 rue du Four (6e), intégrant mouvements de résistance, partis politiques et syndicats ; cet appel est une invitation à lutter contre la déportation et les mauvais traitements dans les camps de concentration nazis, édité par Libération-Nord, juin 1943.
Affiche de mobilisation et de manifestation contre “la déportation des ouvriers français” c’est-à-dire la réquisition de la main d’œuvre pour la machine de guerre allemande, 1er mai 1943.
Journal La Tribune des cheminots appelant à faire du 1er mai 1943 une journée de revendications et de lutte contre la réquisition de la main d’œuvre française devant travailler pour la machine de guerre allemande.
Note destinée aux chefs des régions de la SNCF pour la mise en place des plans de sabotage et de neutralisation des installations allemandes en vue de la prochaine insurrection.
Plan de la gare Montparnasse subtilisé par les agents de la SNCF, membres de Libération-Nord ou Résistance-Fer, précisant le stationnement des patrouilles allemandes indiquées dans la légende en jaune, juillet 1942.
Journal L’Unité française, organe de la région sud de Paris du Front national pour l’indépendance de la France (mouvement créé en mai 1941) diffusant un appel à l’insurrection nationale, mai 1943.
Il évoque le recensement des jeunes en vue de leur envoi en Allemagne dans le cadre de l’instauration du Service du travail obligatoire (STO) par la loi du 16 février 1943, prévoyant la réquisition des classes 1940, 1941 et 1942 (c’est-à-dire en âge d’être mobilisé, 18 ans) pour une durée de deux ans.