Plan du dépôt des Batignolles (Paris 17e)
Crédit : Association Libération Nord
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Plan du dépôt des Batignolles (Paris 17e)
Crédit : Association Libération Nord
Reproduction sur papier calque à l’encre de chine, d’un plan du dépôt des Batignolles (Paris 17e) avec les accès, les points sensibles et les abris contre les bombardements, en vue d’une opération armée. De tels plans impliquaient des complicités résistantes parmi les employés.
Collection : Association Libération Nord - Type d'objet : Document - Date: 64*24,8 - Dimensions : 64*24,8
|
Plan de l’atelier de dépôts de Vitry-sur-Seine
Crédit : Association Libération Nord
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Plan de l’atelier de dépôts de Vitry-sur-Seine
Crédit : Association Libération Nord
Reproduction sur papier calque à l’encre de chine du plan de l’atelier de dépôts de Vitry-sur-Seine (Seine-et-Marne à l’époque, Val-de-Marne actuel) en vue d’une opération.
Collection : Association Libération Nord - Type d'objet : Document - Date: 1941-1944 - Dimensions : 28*21
|
Gabriel Thierry (1896-1972)
Crédit : Archives de l’Ordre de la Libération
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Gabriel Thierry (1896-1972)
Crédit : Archives de l’Ordre de la Libération
Employé des chemins de fer, Gabriel Thierry fonde un réseau de renseignements et de sabotage dès 1940. Son réseau est spécialisé dans le sabotage des voies ferrées : comme celui de 13 locomotives à Troyes. Repéré, il gagne Paris où il intègre Libération-Nord dont il dirige le service de sabotages ferroviaires. Parallèlement, il réorganise les forces du mouvement dans l’Est. Il devient président du Comité départemental de Libération de l’Aube, y forme des maquis et reconstitue le réseau “Résistance Fer”.
À la tête des opérations au moment de la libération, Gabriel Thierry dirige plus de 210 sabotages anéantissant tout le réseau ferroviaire de la région. Il prend la tête de l’insurrection à Troyes le 25 août 1944. Il est fait Compagnon de la Libération le 26 janvier 1946.
Collection : Archives de l’Ordre de la Libération - Type d'objet : Photo -
|
Colonel Fouré, El Targui (1885-1945)
Crédit : Dépôt Fouré, Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris)
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Colonel Fouré, El Targui (1885-1945)
Crédit : Dépôt Fouré, Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris)
Robert Fouré s’engage très jeune dans l’infanterie coloniale puis intègre l’école militaire de l’infanterie de Saint-Maixent. Affecté au 57e bataillon des Chasseurs de 1914 à 1918, il est récompensé de sa vaillance par la croix de guerre et une nomination au grade de Capitaine. En 1938, il est promu colonel. En septembre 1939, il se trouve à Bizerte, adjoint du préfet maritime et commandant de la subdivision de Tunis. Victime des mesures de l’armistice, il est mis à la retraite et regagne la métropole. Il cherche alors à nouer des contacts.
Par sa femme Alice, il est introduit au réseau Zéro France (belge), filière d’évasion et de renseignement. Il intègre ensuite le mouvement Libération-Nord. À la suite de l’arrestation du général Lugand en décembre 1943, il lui succède à la tête des groupes paramilitaires du mouvement. Nommé chef d’État major de la région P (Ile-de-France) des FFI à la fin 1943, il a sous son commandement onze départements.
En mai 1944, il est arrêté par la Gestapo à son domicile, rue de Rennes et incarcéré à Fresnes. Déporté au camp de Dora par le convoi du 15 août 1944, il meurt au printemps 1945.
Collection : Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris) - Type d'objet : Photo -
|
Alice Fouré (1893-1959)
Crédit : Dépôt Fouré, Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris)
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Alice Fouré (1893-1959)
Crédit : Dépôt Fouré, Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris)
Alice Clausse, brestoise épouse à 18 ans l’officier de carrière Robert Fouré qu’elle suit dans ses différents postes. Dans les années Trente, elle est à Paris où elle emménage rue de Rennes qui devient le cœur de l’action résistante du couple.
Lorsque son mari est victime d’une mise à la retraite consécutive à l’armistice, elle assure les premiers contacts de ce dernier avec la Résistance. Son implication aux côtés de son mari est forte et cette femme de caractère lors de l’arrestation de la famille rue de Rennes en mars 1944, soustrait des documents compromettants qu’elle détruit ensuite.
Les papiers de famille attestent de l’abnégation de cette femme devenue veuve qui s’emploie à faire reconnaître l’action de son mari au sein de Libération-Nord, en ne sollicitant jamais aucune reconnaissance pour sa propre action. Elle incarne ces femmes anonymes dont la Résistance est faite de gestes quotidiens comme de lutte contre l’ennemi.
Collection : Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris) - Type d'objet : Photo -
|
|
|
|
Les Nouveaux Temps, quotidien collaborationniste
Crédit : Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris)
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Les Nouveaux Temps, quotidien collaborationniste
Crédit : Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris)
Les Nouveaux Temps, quotidien collaborationniste, fondé par Jean Luchaire le 1er novembre 1940 avec l’aide de l’ambassade d’Allemagne, février 1944.
Collection : Musée du général Leclerc/Musée Jean Moulin (Ville de Paris) - Type d'objet : Presse - Date: 10/02/1944 - Dimensions : 49.4*63.5
|
|
Crayons allumeurs britannique à retardement
Crédit : Musée de l’Ordre de la Libération, Paris
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Crayons allumeurs britannique à retardement
Crédit : Musée de l’Ordre de la Libération, Paris
Crayons allumeurs britannique à retardement largement utilisés par les résistants, début 1944.
Collection : Musée de l’Ordre de la Libération, Paris - Type d'objet : Document - Date: Début 1944 -
|
Container largué par la Royal Air Force
Crédit : Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne
Cliquer sur l'image pour l'agrandir et pour voir la série d’images si elle existe
Container largué par la Royal Air Force
Crédit : Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne
Container largué par la Royal Air Force dans lequel étaient livrés les armements pour les résistants.
Collection : Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne - Type d'objet : Document - Numéro d'inventaire : 38*168 -
|